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PACA 2006 : Olive
Provence-Alpes-Côte d'Azur du 04/05/2006 au 09/05/2006
2800 kms

(par Grand'Boca le 18/05/2006)

liens & avis
Première balade de l'année 2006 pour Supermémé qui sort de chez Vince. Bon, je sais qu'elle pissouille un peu l'huile mais ça devrait quand même tenir. Reste plus qu'à prier et à se cracher dans les pognes pour donner la leçon de pilotage aux sudistes (marseillais compris).

Ca commence fort !

Après une courte nuit, nous voilà, Ed et moi-même, au point de rendez vous à la porte Champerret. Bagages faits (un caleçon, un t-shirt et une bouteille d’huile :-) ), pneus gonflés en mode autoroute (3 bars à l’arrière, 2,6 à l’avant), plein OK, tenue adéquate. C’est parti, gaz sur le périph, putain à 8h du mat y’a déjà max de monde. Fais ierch. Pas grave on se traîne un peu la pine avec les scoobites. Ed commence déjà à lambiner et je le cherche dans mes rétros (qui vibrent pas mal soit dit en passant) quand tout à coup….crrraaaaccc, putain de merde j’étais en train de rentrer dans le capot d’une merco au niveau de la porte d’Auteuil ! Quel gros naze je fais, allez, cette fois on se concentre sur la route, c’est devant que ça se passe. Au péage, opération boules quies obligatoire histoire de ne pas arriver foncedé à la sortie de l’autoroute. Là, c’est tout de suite plus agréable mais tout de même….qu’est ce qu’on se fait chier ! Juste au moment où on passait la station service après Auxerre, Ed me fait signe qu’il est en réserve. C’est pas très malin car je sais que la prochaine est à environ 65 kms. Va falloir jouer serrer. Ravalant ma fierté, on se cale à un petit 120 voire 100 dans les montées (putain de merde, on va même se faire doubler par un 500GSE, les boules) en attendant la station.

Ca commence fort !

Après une courte nuit, nous voilà, Ed et moi-même, au point de rendez vous à la porte Champerret. Bagages faits (un caleçon, un t-shirt et une bouteille d’huile :-) ), pneus gonflés en mode autoroute (3 bars à l’arrière, 2,6 à l’avant), plein OK, tenue adéquate. C’est parti, gaz sur le périph, putain à 8h du mat y’a déjà max de monde. Fais ierch. Pas grave on se traîne un peu la pine avec les scoobites. Ed commence déjà à lambiner et je le cherche dans mes rétros (qui vibrent pas mal soit dit en passant) quand tout à coup….crrraaaaccc, putain de merde j’étais en train de rentrer dans le capot d’une merco au niveau de la porte d’Auteuil ! Quel gros naze je fais, allez, cette fois on se concentre sur la route, c’est devant que ça se passe. Au péage, opération boules quies obligatoire histoire de ne pas arriver foncedé à la sortie de l’autoroute. Là, c’est tout de suite plus agréable mais tout de même….qu’est ce qu’on se fait chier ! Juste au moment où on passait la station service après Auxerre, Ed me fait signe qu’il est en réserve. C’est pas très malin car je sais que la prochaine est à environ 65 kms. Va falloir jouer serrer. Ravalant ma fierté, on se cale à un petit 120 voire 100 dans les montées (putain de merde, on va même se faire doubler par un 500GSE, les boules) en attendant la station.

Ca commence fort !

Après une courte nuit, nous voilà, Ed et moi-même, au point de rendez vous à la porte Champerret. Bagages faits (un caleçon, un t-shirt et une bouteille d’huile :-) ), pneus gonflés en mode autoroute (3 bars à l’arrière, 2,6 à l’avant), plein OK, tenue adéquate. C’est parti, gaz sur le périph, putain à 8h du mat y’a déjà max de monde. Fais ierch. Pas grave on se traîne un peu la pine avec les scoobites. Ed commence déjà à lambiner et je le cherche dans mes rétros (qui vibrent pas mal soit dit en passant) quand tout à coup….crrraaaaccc, putain de merde j’étais en train de rentrer dans le capot d’une merco au niveau de la porte d’Auteuil ! Quel gros naze je fais, allez, cette fois on se concentre sur la route, c’est devant que ça se passe. Au péage, opération boules quies obligatoire histoire de ne pas arriver foncedé à la sortie de l’autoroute. Là, c’est tout de suite plus agréable mais tout de même….qu’est ce qu’on se fait chier ! Juste au moment où on passait la station service après Auxerre, Ed me fait signe qu’il est en réserve. C’est pas très malin car je sais que la prochaine est à environ 65 kms. Va falloir jouer serrer. Ravalant ma fierté, on se cale à un petit 120 voire 100 dans les montées (putain de merde, on va même se faire doubler par un 500GSE, les boules) en attendant la station.

Dépucelage

Pause essence + dégonflage de pneus histoire d’attaquer un peu. Ca y’est on est rapidos dans les monts du lyonnais, belle vigne pas encore assez feuillue pour bien apprécier le paysage mais c’est cool il fait beau, les oiseaux chantent et ….bah merde, il est où Ed ??? Je m’arrête sur le côté…et rien et rien et rien….ah enfin ! En fait, il n’avait pas fermé son casque, j’ai bien cru qu’il s’était bourré au premier gauche. On repart, vla un autre gauche…Gaz….hop…Plus personne ! Ouh là là, va ptetre falloir tailler dans le road book parcequ’à ce rythme on n’est pas arrivés à Saint Georges. Heureusement, la petite pause saucisson + bière va nous revigorer un peu tout ce monde et on avale rapidos les derniers kilomètres jusqu’à Saint Etienne (nationale sympa + un bout d’autoroute) en laissant tomber toutes les petites routes à viroles que j’avais prévu (snif). Là, au choix col de la République ou Gouffre d’Enfer. Comme Ed n’a jamais fait le col et que je lui ai rabattu les oreilles avec, on opte finalement pour la première solution. Pas mal de trafic mais ça roule quand même. Dans la descente sur Bourg Agental je me fais une grosse frayeur car mon moteur se coupe d’un coup…Maaaaa, késseee kki s’passe encore ? Comme un boulet que je suis j’avais enclenché le coupe contact sans m’en rendre compte. Ptite route cool en direction de Riotord (j’aime beaucoup, virages variés, peu de trafic et bon revêtement) puis mini-route jusqu’à Saint Bonnet (Restaurant 3 étoiles « Les Cimes »). Et enfin, Saint Agreve – Lamastre (d’ailleurs, je ne me souvenais pas mais la portion de route en partant de Saint Agreve est vraiment pourrie).

Sur la route, en attendant Ed, je fais connaissance avec un indigène Ardéchois : voulant me photographier devant un rade nommé « Le Pénalty » (je trouvais ça énorme) un gars tout bourré en sort (il était 16h) et vient me causer (il avait une meule, et par raison il ne la prenait pas pour aller au bar – remarque valait mieux pas). Malgré mon casque je sentais son haleine de tout bourré, autrement dit « Bienvenue en Ardèche »…eh eh eh.

Après une petite binche à Lamastre (ptain ça fait du bien il est 17h, à Paris il fait moche et tout le monde bosse et nous on boit un demi en terrasse à Lamastre au soleil, c’est-y pas mortel ?) on retrouve Pascal sur la route qui descend vers Le Cheylard. Allez, c’est parti pour la première bourre et la deuxième frayeur de la journée, dans un droite bien anglé ma roue arrière chasse méchamment et seule ma dextérité combinée à ma finesse de pilotage (inh inh) me permettent de rattraper tout ça d’un bon contre braquage. Cet enfoiré de Pascal pose bien le genou dans les courbes, joli staÿle !
Le Ben nous attend sagement chez lui avec des bières au frais et parait bien chaud pour le lendemain. Heureusement pour lui je n’avais pas oublié ses pièces de rechange (sélecteur + levier de vitesse) qu’il avait cassées suite à la bourre avec Lolo.

Dépucelage

Pause essence + dégonflage de pneus histoire d’attaquer un peu. Ca y’est on est rapidos dans les monts du lyonnais, belle vigne pas encore assez feuillue pour bien apprécier le paysage mais c’est cool il fait beau, les oiseaux chantent et ….bah merde, il est où Ed ??? Je m’arrête sur le côté…et rien et rien et rien….ah enfin ! En fait, il n’avait pas fermé son casque, j’ai bien cru qu’il s’était bourré au premier gauche. On repart, vla un autre gauche…Gaz….hop…Plus personne ! Ouh là là, va ptetre falloir tailler dans le road book parcequ’à ce rythme on n’est pas arrivés à Saint Georges. Heureusement, la petite pause saucisson + bière va nous revigorer un peu tout ce monde et on avale rapidos les derniers kilomètres jusqu’à Saint Etienne (nationale sympa + un bout d’autoroute) en laissant tomber toutes les petites routes à viroles que j’avais prévu (snif). Là, au choix col de la République ou Gouffre d’Enfer. Comme Ed n’a jamais fait le col et que je lui ai rabattu les oreilles avec, on opte finalement pour la première solution. Pas mal de trafic mais ça roule quand même. Dans la descente sur Bourg Agental je me fais une grosse frayeur car mon moteur se coupe d’un coup…Maaaaa, késseee kki s’passe encore ? Comme un boulet que je suis j’avais enclenché le coupe contact sans m’en rendre compte. Ptite route cool en direction de Riotord (j’aime beaucoup, virages variés, peu de trafic et bon revêtement) puis mini-route jusqu’à Saint Bonnet (Restaurant 3 étoiles « Les Cimes »). Et enfin, Saint Agreve – Lamastre (d’ailleurs, je ne me souvenais pas mais la portion de route en partant de Saint Agreve est vraiment pourrie).
Sur la route, en attendant Ed, je fais connaissance avec un indigène Ardéchois : voulant me photographier devant un rade nommé « Le Pénalty » (je trouvais ça énorme) un gars tout bourré en sort (il était 16h) et vient me causer (il avait une meule, et par raison il ne la prenait pas pour aller au bar – remarque valait mieux pas). Malgré mon casque je sentais son haleine de tout bourré, autrement dit « Bienvenue en Ardèche »…eh eh eh.
Après une petite binche à Lamastre (ptain ça fait du bien il est 17h, à Paris il fait moche et tout le monde bosse et nous on boit un demi en terrasse à Lamastre au soleil, c’est-y pas mortel ?) on retrouve Pascal sur la route qui descend vers Le Cheylard. Allez, c’est parti pour la première bourre et la deuxième frayeur de la journée, dans un droite bien anglé ma roue arrière chasse méchamment et seule ma dextérité combinée à ma finesse de pilotage (inh inh) me permettent de rattraper tout ça d’un bon contre braquage. Cet enfoiré de Pascal pose bien le genou dans les courbes, joli staÿle !
Le Ben nous attend sagement chez lui avec des bières au frais et parait bien chaud pour le lendemain. Heureusement pour lui je n’avais pas oublié ses pièces de rechange (sélecteur + levier de vitesse) qu’il avait cassées suite à la bourre avec Lolo.

Dépucelage

Pause essence + dégonflage de pneus histoire d’attaquer un peu. Ca y’est on est rapidos dans les monts du lyonnais, belle vigne pas encore assez feuillue pour bien apprécier le paysage mais c’est cool il fait beau, les oiseaux chantent et ….bah merde, il est où Ed ??? Je m’arrête sur le côté…et rien et rien et rien….ah enfin ! En fait, il n’avait pas fermé son casque, j’ai bien cru qu’il s’était bourré au premier gauche. On repart, vla un autre gauche…Gaz….hop…Plus personne ! Ouh là là, va ptetre falloir tailler dans le road book parcequ’à ce rythme on n’est pas arrivés à Saint Georges. Heureusement, la petite pause saucisson + bière va nous revigorer un peu tout ce monde et on avale rapidos les derniers kilomètres jusqu’à Saint Etienne (nationale sympa + un bout d’autoroute) en laissant tomber toutes les petites routes à viroles que j’avais prévu (snif). Là, au choix col de la République ou Gouffre d’Enfer. Comme Ed n’a jamais fait le col et que je lui ai rabattu les oreilles avec, on opte finalement pour la première solution. Pas mal de trafic mais ça roule quand même. Dans la descente sur Bourg Agental je me fais une grosse frayeur car mon moteur se coupe d’un coup…Maaaaa, késseee kki s’passe encore ? Comme un boulet que je suis j’avais enclenché le coupe contact sans m’en rendre compte. Ptite route cool en direction de Riotord (j’aime beaucoup, virages variés, peu de trafic et bon revêtement) puis mini-route jusqu’à Saint Bonnet (Restaurant 3 étoiles « Les Cimes »). Et enfin, Saint Agreve – Lamastre (d’ailleurs, je ne me souvenais pas mais la portion de route en partant de Saint Agreve est vraiment pourrie).

Sur la route, en attendant Ed, je fais connaissance avec un indigène Ardéchois : voulant me photographier devant un rade nommé « Le Pénalty » (je trouvais ça énorme) un gars tout bourré en sort (il était 16h) et vient me causer (il avait une meule, et par raison il ne la prenait pas pour aller au bar – remarque valait mieux pas). Malgré mon casque je sentais son haleine de tout bourré, autrement dit « Bienvenue en Ardèche »…eh eh eh.

Après une petite binche à Lamastre (ptain ça fait du bien il est 17h, à Paris il fait moche et tout le monde bosse et nous on boit un demi en terrasse à Lamastre au soleil, c’est-y pas mortel ?) on retrouve Pascal sur la route qui descend vers Le Cheylard. Allez, c’est parti pour la première bourre et la deuxième frayeur de la journée, dans un droite bien anglé ma roue arrière chasse méchamment et seule ma dextérité combinée à ma finesse de pilotage (inh inh) me permettent de rattraper tout ça d’un bon contre braquage. Cet enfoiré de Pascal pose bien le genou dans les courbes, joli staÿle !
Le Ben nous attend sagement chez lui avec des bières au frais et parait bien chaud pour le lendemain. Heureusement pour lui je n’avais pas oublié ses pièces de rechange (sélecteur + levier de vitesse) qu’il avait cassées suite à la bourre avec Lolo.

Le Vercors – Mougins

Col de la bataille, on s’avoine direct un peu, ça roule correctement sans plus vu que la route n’est pas au top. A part ça je flippe de me foutre en l’air car ma meule a l’air de pisser de l’huile directement sur le pneu arrière. Fais chier cette vieille. Là haut c’est vraiment trop beau, un peu vertigineux mais sympa comme tout. Ensuite, un petit bout de Combes Laval, puis col de Rousset rapidos pour trouver un garage d’ouvert à Die histoire de remettre des vis à ma monoplace (j’ai perdu ces putain de wellnuts de merde). Ca y’est je suis déjà bien ronchon et Ben veut filmer le col de Cabres dans lequel je me fais finalement assez rapidement distancer par Pascal et son troupeau de chevaux.
Ben, rancunier de la PACA précedente où je l'avais humilier d'un fabuleux exter entre Castellane et Digne les bains, me colle au derche. J'avoue qu'il devait rouler un peu plus vite que moi, mais, par principe de précaution (selon lui car, ce que j'en pense c'est qu'il était pas assez couillu pour faire l'exter à Supermémé) il m'atomise en ligne droite avec ses 50CV de plus (ce que confirme la vidéo).
Bon, j’arriverais quand même à les suivre jusqu’en haut et, en attaquant dans la descente, un peu optimiste sur le frein arrière je pars plus ou moins tout droit au début d’une épingle à droite, avec la roue arrière qui balaye la chaussée genre « iiiiiiiiiii-Ccrrrrrrr » ça a du faire pas mal de bruit car Superman se retourne pour voir ce que je branlais. Pour me détendre je roule un peu au dessus des limites (pas loin « d’atoc ») sur les lignes droites qui nous mènent à Gap. C’est là qu’Eric m’a fait beaucoup rire car on lui dit « bah pour nous rattraper, t’as qu’à mettre un peu de gaz en ligne droite ». Réponse « mais j’en mets, j’étais à 170 tout à l’heure ». Vu qu’on s’arsouillait à plus de 200 au moindre bout droit, même dans ces portions « roulantes » on ne risquait pas de le sentir à l’aspir, ah ah ah.

Resto un peu naze, fort cher, mais avec vue sympatoche sur le lac de Serre Ponçon et surtout : l’enculé avec sa débroussailleuse est passé un peu trop près des meules qui se retrouvent couvertes d’herbe et….de merde ! Putain de cabot, putain de débrouissailleur ! On aurait du le faire nettoyer avec la langue !

Ca a du secouer un peu Ben car il nous fait une entrée en fanfare sur cette portion de route, caméra allumée, wheeling au démarrage…pendant que je fais chauffer tranquilou moteur, pneus et bonhomme (cf. film où il nous attend). Ma moto pisse toujours au moment où elle chauffe, c’est lourdingue. Encore plus lourdingue, on va se frapper un peu de pluie jusqu’à Digne les Bains.

Le Vercors – Mougins

Col de la bataille, on s’avoine direct un peu, ça roule correctement sans plus vu que la route n’est pas au top. A part ça je flippe de me foutre en l’air car ma meule a l’air de pisser de l’huile directement sur le pneu arrière. Fais chier cette vieille. Là haut c’est vraiment trop beau, un peu vertigineux mais sympa comme tout. Ensuite, un petit bout de Combes Laval, puis col de Rousset rapidos pour trouver un garage d’ouvert à Die histoire de remettre des vis à ma monoplace (j’ai perdu ces putain de wellnuts de merde). Ca y’est je suis déjà bien ronchon et Ben veut filmer le col de Cabres dans lequel je me fais finalement assez rapidement distancer par Pascal et son troupeau de chevaux. Bon, j’arriverais quand même à les suivre jusqu’en haut et, en attaquant dans la descente, un peu optimiste sur le frein arrière je pars plus ou moins tout droit au début d’une épingle à droite, avec la roue arrière qui balaye la chaussée genre « iiiiiiiiiii-Ccrrrrrrr » ça a du faire pas mal de bruit car Superman se retourne pour voir ce que je branlais. Pour me détendre je roule un peu au dessus des limites (pas loin « d’atoc ») sur les lignes droites qui nous mènent à Gap. C’est là qu’Eric m’a fait beaucoup rire car on lui dit « bah pour nous rattraper, t’as qu’à mettre un peu de gaz en ligne droite ». Réponse « mais j’en mets, j’étais à 170 tout à l’heure ». Vu qu’on s’arsouillait à plus de 200 au moindre bout droit, même dans ces portions « roulantes » on ne risquait pas de le sentir à l’aspir, ah ah ah.
Resto un peu naze, fort cher, mais avec vue sympatoche sur le lac de Serre Ponçon et surtout : l’enculé avec sa débroussailleuse est passé un peu trop près des meules qui se retrouvent couvertes d’herbe et….de merde ! Putain de cabot, putain de débrouissailleur ! On aurait du le faire nettoyer avec la langue !
Ca a du secouer un peu Ben car il nous fait une entrée en fanfare sur cette portion de route, caméra allumée, wheeling au démarrage…pendant que je fais chauffer tranquilou moteur, pneus et bonhomme (cf. film où il nous attend). Ma moto pisse toujours au moment où elle chauffe, c’est lourdingue. Encore plus lourdingue, on va se frapper un peu de pluie jusqu’à Digne les Bains.

Le Vercors – Mougins

Col de la bataille, on s’avoine direct un peu, ça roule correctement sans plus vu que la route n’est pas au top. A part ça je flippe de me foutre en l’air car ma meule a l’air de pisser de l’huile directement sur le pneu arrière. Fais chier cette vieille. Là haut c’est vraiment trop beau, un peu vertigineux mais sympa comme tout. Ensuite, un petit bout de Combes Laval, puis col de Rousset rapidos pour trouver un garage d’ouvert à Die histoire de remettre des vis à ma monoplace (j’ai perdu ces putain de wellnuts de merde). Ca y’est je suis déjà bien ronchon et Ben veut filmer le col de Cabres dans lequel je me fais finalement assez rapidement distancer par Pascal et son troupeau de chevaux.
Ben, rancunier de la PACA précedente où je l'avais humilier d'un fabuleux exter entre Castellane et Digne les bains, me colle au derche. J'avoue qu'il devait rouler un peu plus vite que moi, mais, par principe de précaution (selon lui car, ce que j'en pense c'est qu'il était pas assez couillu pour faire l'exter à Supermémé) il m'atomise en ligne droite avec ses 50CV de plus (ce que confirme la vidéo).
Bon, j’arriverais quand même à les suivre jusqu’en haut et, en attaquant dans la descente, un peu optimiste sur le frein arrière je pars plus ou moins tout droit au début d’une épingle à droite, avec la roue arrière qui balaye la chaussée genre « iiiiiiiiiii-Ccrrrrrrr » ça a du faire pas mal de bruit car Superman se retourne pour voir ce que je branlais. Pour me détendre je roule un peu au dessus des limites (pas loin « d’atoc ») sur les lignes droites qui nous mènent à Gap. C’est là qu’Eric m’a fait beaucoup rire car on lui dit « bah pour nous rattraper, t’as qu’à mettre un peu de gaz en ligne droite ». Réponse « mais j’en mets, j’étais à 170 tout à l’heure ». Vu qu’on s’arsouillait à plus de 200 au moindre bout droit, même dans ces portions « roulantes » on ne risquait pas de le sentir à l’aspir, ah ah ah.

Resto un peu naze, fort cher, mais avec vue sympatoche sur le lac de Serre Ponçon et surtout : l’enculé avec sa débroussailleuse est passé un peu trop près des meules qui se retrouvent couvertes d’herbe et….de merde ! Putain de cabot, putain de débrouissailleur ! On aurait du le faire nettoyer avec la langue !

Ca a du secouer un peu Ben car il nous fait une entrée en fanfare sur cette portion de route, caméra allumée, wheeling au démarrage…pendant que je fais chauffer tranquilou moteur, pneus et bonhomme (cf. film où il nous attend). Ma moto pisse toujours au moment où elle chauffe, c’est lourdingue. Encore plus lourdingue, on va se frapper un peu de pluie jusqu’à Digne les Bains.

Un très très beau gibier.

En sortant de Digne, on arsouille correctement sur la 3 voies quand….des oreilles de lapin, que dis-je de lièvre mâle, adulte et sportif, pointent à l’horizon (un local en 748 jaune). Les deux sudistes le prennent à la gorge (inter-exter rapidement expédié) et ce pauvre lapin ne comprend pas ce qu’il lui arrive alors il s’accroche à leur roue…mais il n’a pas encore compris que l’estocade finale lui sera portée par …un parigot sur une meule de 14 ans ! Je fouette ma mémé tant que je peux (c’est très roulant alors elle a du mal) et met la pression max au lapin (en gros je suis à 1 m de lui, prêt à lui coller un exter des familles à la moindre occasion) quand il finit par lâcher prise. Quelle couille molle ! Après j’ai bien vu qu’il s’accrochait mais j’ai du cravacher pour rejoindre les deux zouaves et encore une fois, il s’est avoué vaincu ! A mon avis, cui-là il va pas la ramener le soir au troquet. Se faire mettre minable sur sa route avec sa sportive par des « esstrangers » dont un parigot (hu hu hu) c’est la honte de sa vie. Ptetre même qu’il a fait demi-tour pour aller pleurer chez sa mère.

Après cet interlude sportif, re-la pluie jusque Castellane. Fais chier car j’adore cette route, c’est splendide et très bien revêtu. Après une petite bière (pour changer), un petit coup de route napoléon puis bifurcation en direction du col de Vence et là, ZE route jusqu’à Grasse, des milliers de virages, une belle descente, un précipice mortel et une vue magnifique sous un grand soleil. J’ai adoré cette route, sans doute une des meilleures du week end. Les sudistes me font bien rire car, lorsqu’on a quitté la route napoléon pour aller chercher cette fameuse petite route mortelle, tout le monde est passé en réserve. Moyenne générale des kms possibles en réserve : 40. Kilomètres restant à effectuer : 65. C’est pas grave, on n’a qu’à partir à toc (160 sur cette route étroite mais peu viroleuse) histoire que ça passe plus vite ! Hi hi, c’est du grand n’importe quoi. Du coup, quand on attaque la descente, les deux coupent leur moteur et y vont en roue libre. J’en profiterais pour prendre le large et admirer le paysage.

Un très très beau gibier.

En sortant de Digne, on arsouille correctement sur la 3 voies quand….des oreilles de lapin, que dis-je de lièvre mâle, adulte et sportif, pointent à l’horizon (un local en 748 jaune). Les deux sudistes le prennent à la gorge (inter-exter rapidement expédié) et ce pauvre lapin ne comprend pas ce qu’il lui arrive alors il s’accroche à leur roue…mais il n’a pas encore compris que l’estocade finale lui sera portée par …un parigot sur une meule de 14 ans ! Je fouette ma mémé tant que je peux (c’est très roulant alors elle a du mal) et met la pression max au lapin (en gros je suis à 1 m de lui, prêt à lui coller un exter des familles à la moindre occasion) quand il finit par lâcher prise. Quelle couille molle ! Après j’ai bien vu qu’il s’accrochait mais j’ai du cravacher pour rejoindre les deux zouaves et encore une fois, il s’est avoué vaincu ! A mon avis, cui-là il va pas la ramener le soir au troquet. Se faire mettre minable sur sa route avec sa sportive par des « esstrangers » dont un parigot (hu hu hu) c’est la honte de sa vie. Ptetre même qu’il a fait demi-tour pour aller pleurer chez sa mère.

Après cet interlude sportif, re-la pluie jusque Castellane. Fais chier car j’adore cette route, c’est splendide et très bien revêtu. Après une petite bière (pour changer), un petit coup de route napoléon puis bifurcation en direction du col de Vence et là, ZE route jusqu’à Grasse, des milliers de virages, une belle descente, un précipice mortel et une vue magnifique sous un grand soleil. J’ai adoré cette route, sans doute une des meilleures du week end. Les sudistes me font bien rire car, lorsqu’on a quitté la route napoléon pour aller chercher cette fameuse petite route mortelle, tout le monde est passé en réserve. Moyenne générale des kms possibles en réserve : 40. Kilomètres restant à effectuer : 65. C’est pas grave, on n’a qu’à partir à toc (160 sur cette route étroite mais peu viroleuse) histoire que ça passe plus vite ! Hi hi, c’est du grand n’importe quoi. Du coup, quand on attaque la descente, les deux coupent leur moteur et y vont en roue libre. J’en profiterais pour prendre le large et admirer le paysage.

Un très très beau gibier.

En sortant de Digne, on arsouille correctement sur la 3 voies quand….des oreilles de lapin, que dis-je de lièvre mâle, adulte et sportif, pointent à l’horizon (un local en 748 jaune). Les deux sudistes le prennent à la gorge (inter-exter rapidement expédié) et ce pauvre lapin ne comprend pas ce qu’il lui arrive alors il s’accroche à leur roue…mais il n’a pas encore compris que l’estocade finale lui sera portée par …un parigot sur une meule de 14 ans ! Je fouette ma mémé tant que je peux (c’est très roulant alors elle a du mal) et met la pression max au lapin (en gros je suis à 1 m de lui, prêt à lui coller un exter des familles à la moindre occasion) quand il finit par lâcher prise. Quelle couille molle ! Après j’ai bien vu qu’il s’accrochait mais j’ai du cravacher pour rejoindre les deux zouaves et encore une fois, il s’est avoué vaincu ! A mon avis, cui-là il va pas la ramener le soir au troquet. Se faire mettre minable sur sa route avec sa sportive par des « esstrangers » dont un parigot (hu hu hu) c’est la honte de sa vie. Ptetre même qu’il a fait demi-tour pour aller pleurer chez sa mère.

Après cet interlude sportif, re-la pluie jusque Castellane. Fais chier car j’adore cette route, c’est splendide et très bien revêtu. Après une petite bière (pour changer), un petit coup de route napoléon puis bifurcation en direction du col de Vence et là, ZE route jusqu’à Grasse, des milliers de virages, une belle descente, un précipice mortel et une vue magnifique sous un grand soleil. J’ai adoré cette route, sans doute une des meilleures du week end. Les sudistes me font bien rire car, lorsqu’on a quitté la route napoléon pour aller chercher cette fameuse petite route mortelle, tout le monde est passé en réserve. Moyenne générale des kms possibles en réserve : 40. Kilomètres restant à effectuer : 65. C’est pas grave, on n’a qu’à partir à toc (160 sur cette route étroite mais peu viroleuse) histoire que ça passe plus vite ! Hi hi, c’est du grand n’importe quoi. Du coup, quand on attaque la descente, les deux coupent leur moteur et y vont en roue libre. J’en profiterais pour prendre le large et admirer le paysage.

Mougins – Cogolin

On se perd dans Cannes en suivant les indications du GPS. A croire qu’il était en mode touriste car il nous fait passer par la croisette et j’ai vraiment l’impression de faire 5 fois le tour de la ville. Pas grave, car la route qui nous attend est de premier choix : le massif de l’Esterel. A son départ, un lapin en Z1000 sur le bas coté nous voit arriver. Superman me dira après qu’il l’a vu chausser son casque pour venir nous rattraper et pourrir. Curieusement…on ne l’a pas vu, ah ah ah…J’enroule rapide sur cette portion qui est finalement assez dangereuse (falaise du coté droit donc peu de visibilité dans les virages à droite et beaucoup de vélo) et rejoins les deux qui ne m’ont pas attendu trop trop longtemps. Le Z1000 arrivera avant Ed (pfiouu la honte bonhomme, t’aurais pu lui mettre une rouste) qui s’était arrêté cueillir des champignons.
Pendant qu’Ed traçait par l’autoroute jusqu’à Marseille, on découvre (enfin pour moi) les routes du coin, notamment celle qui part de Fréjus vers le nord puis redescente de La Garde Freynet sur Cogolin. Cette dernière portion est tout simplement atomique, les virages serrés s’enchainent et donnent l’impression de pratiquer la godille comme au ski. Superman a bien appris la leçon de dépassement à l’arrache, je le vois doubler pas mal de fois dans des endroits où même Chris se serait posé des questions (réflexion faite, Chris ne se pose jamais de questions quand il faut doubler). Il manque de se manger une audi TT qui voulait jouer (vu le trafic il n’aurait pas pu faire grand-chose) et on arrive frais et guillerets à Cogolin où nous rejoignent Malopignons et toutes ses copines en R1/R6/GSXR.

Mougins – Cogolin

On se perd dans Cannes en suivant les indications du GPS. A croire qu’il était en mode touriste car il nous fait passer par la croisette et j’ai vraiment l’impression de faire 5 fois le tour de la ville. Pas grave, car la route qui nous attend est de premier choix : le massif de l’Esterel. A son départ, un lapin en Z1000 sur le bas coté nous voit arriver. Superman me dira après qu’il l’a vu chausser son casque pour venir nous rattraper et pourrir. Curieusement…on ne l’a pas vu, ah ah ah…J’enroule rapide sur cette portion qui est finalement assez dangereuse (falaise du coté droit donc peu de visibilité dans les virages à droite et beaucoup de vélo) et rejoins les deux qui ne m’ont pas attendu trop trop longtemps. Le Z1000 arrivera avant Ed (pfiouu la honte bonhomme, t’aurais pu lui mettre une rouste) qui s’était arrêté cueillir des champignons.

Pendant qu’Ed traçait par l’autoroute jusqu’à Marseille, on découvre (enfin pour moi) les routes du coin, notamment celle qui part de Fréjus vers le nord puis redescente de La Garde Freynet sur Cogolin. Cette dernière portion est tout simplement atomique, les virages serrés s’enchainent et donnent l’impression de pratiquer la godille comme au ski. Superman a bien appris la leçon de dépassement à l’arrache, je le vois doubler pas mal de fois dans des endroits où même Chris se serait posé des questions (réflexion faite, Chris ne se pose jamais de questions quand il faut doubler). Il manque de se manger une audi TT qui voulait jouer (vu le trafic il n’aurait pas pu faire grand-chose) et on arrive frais et guillerets à Cogolin où nous rejoignent Malopignons et toutes ses copines en R1/R6/GSXR.

Mougins – Cogolin

On se perd dans Cannes en suivant les indications du GPS. A croire qu’il était en mode touriste car il nous fait passer par la croisette et j’ai vraiment l’impression de faire 5 fois le tour de la ville. Pas grave, car la route qui nous attend est de premier choix : le massif de l’Esterel. A son départ, un lapin en Z1000 sur le bas coté nous voit arriver. Superman me dira après qu’il l’a vu chausser son casque pour venir nous rattraper et pourrir. Curieusement…on ne l’a pas vu, ah ah ah…J’enroule rapide sur cette portion qui est finalement assez dangereuse (falaise du coté droit donc peu de visibilité dans les virages à droite et beaucoup de vélo) et rejoins les deux qui ne m’ont pas attendu trop trop longtemps. Le Z1000 arrivera avant Ed (pfiouu la honte bonhomme, t’aurais pu lui mettre une rouste) qui s’était arrêté cueillir des champignons.
Pendant qu’Ed traçait par l’autoroute jusqu’à Marseille, on découvre (enfin pour moi) les routes du coin, notamment celle qui part de Fréjus vers le nord puis redescente de La Garde Freynet sur Cogolin. Cette dernière portion est tout simplement atomique, les virages serrés s’enchainent et donnent l’impression de pratiquer la godille comme au ski. Superman a bien appris la leçon de dépassement à l’arrache, je le vois doubler pas mal de fois dans des endroits où même Chris se serait posé des questions (réflexion faite, Chris ne se pose jamais de questions quand il faut doubler). Il manque de se manger une audi TT qui voulait jouer (vu le trafic il n’aurait pas pu faire grand-chose) et on arrive frais et guillerets à Cogolin où nous rejoignent Malopignons et toutes ses copines en R1/R6/GSXR.

L’arsouille à la Marseillaise

Vu les routes du matin, je m’attends à ce que l’après midi soit du même tonneau. Résultat, on commence direct par 15 kms de ligne droite (je savais pas qu’il y en avait dans ce pays) que les « sportifs » enchainent à 200 et + pendant que je fais chauffer le moulin à 110-120. Du coup j’avais un peu de retard, ah ah ah. Puis, col du Babaou. Alors là, j’annonce super route mais grosses chaleurs : elle est tellement étroite que même à moto c’est compliqué de croiser des voitures d’où une certaine relâche dans la pression. Par contre c’est absolument magnifique et le bitume est lisse comme un billard. Dommage que ce ne soit pas en sens unique ça serait tellement plus drôle. La fin et la descente sur Gonfaron sont moyennes, plutôt bosselées mais ça reste cool. Nos amis Marseillais ne semblent pas trop à l’aise sur ce genre de terrain car ils annoncent qu’on va bientôt rentrer sur leurs terres et donc leurs routes. Nationale chiante pendant quelques kilomètres avec un immense droit qu’ils passent tous à bloc. J’espère que c’est pas ça « leurs routes » parce que ça ne vaut même pas un tour de périphérique parisien. M’enfin. La montée sur Rocbaron est vraiment pas mal, là ils font la différence, ça arsouille plutôt fort. Ensuite, en toute honnêteté, on a fait des routes de merde jusqu’au Castellet. En gros : 3 à 5 kms de ligne droite (à fond à fond) puis 2 virages puis 3 à 5 kms de lignes droite puis 2 virages…etc…jusqu’à la fin de la montée du Beausset. Bref, c’est le genre de plan sympa quand on est fatigués et qu’on va boire un pot mais j’ai pas trop compris pourquoi ces trajets les branchaient (faut dire qu’avec ma vieille je les ai pas vu longtemps hu hu).

Mémorable descente sur La Ciotat, pleine de virages, lacets et surtout…d’essence ! Snif snif, mais putain elle daube l’essence ma Ducat, c’est quoi ce merdier ? Ah non, en fait c’est la Range devant qui, en plus de consommer du 30litres aux cents, déverse le ¼ de son réservoir à chaque épingle !! Vite on la double pour pas être emmerdés. Et c’est là qu’on tombe sur « ZE local » ! Un vieux dans sa deuche (on est en descente) qui prenait, en toute simplicité, les épingles sur 3 roues !!!! Incroyable, il ne freinait absolument pas et balançait sa caisse jusqu’à ce qu’une roue se soulève. Sauf qu’encore une fois, des litres d’essence tombaient par terre et j’ai bien failli m’y mettre. Dommage qu’on n’ait pas filmé ça, c’était impressionnant.

L’arsouille à la Marseillaise

Vu les routes du matin, je m’attends à ce que l’après midi soit du même tonneau. Résultat, on commence direct par 15 kms de ligne droite (je savais pas qu’il y en avait dans ce pays) que les « sportifs » enchainent à 200 et + pendant que je fais chauffer le moulin à 110-120. Du coup j’avais un peu de retard, ah ah ah. Puis, col du Babaou. Alors là, j’annonce super route mais grosses chaleurs : elle est tellement étroite que même à moto c’est compliqué de croiser des voitures d’où une certaine relâche dans la pression. Par contre c’est absolument magnifique et le bitume est lisse comme un billard. Dommage que ce ne soit pas en sens unique ça serait tellement plus drôle. La fin et la descente sur Gonfaron sont moyennes, plutôt bosselées mais ça reste cool. Nos amis Marseillais ne semblent pas trop à l’aise sur ce genre de terrain car ils annoncent qu’on va bientôt rentrer sur leurs terres et donc leurs routes. Nationale chiante pendant quelques kilomètres avec un immense droit qu’ils passent tous à bloc. J’espère que c’est pas ça « leurs routes » parce que ça ne vaut même pas un tour de périphérique parisien. M’enfin. La montée sur Rocbaron est vraiment pas mal, là ils font la différence, ça arsouille plutôt fort. Ensuite, en toute honnêteté, on a fait des routes de merde jusqu’au Castellet. En gros : 3 à 5 kms de ligne droite (à fond à fond) puis 2 virages puis 3 à 5 kms de lignes droite puis 2 virages…etc…jusqu’à la fin de la montée du Beausset. Bref, c’est le genre de plan sympa quand on est fatigués et qu’on va boire un pot mais j’ai pas trop compris pourquoi ces trajets les branchaient (faut dire qu’avec ma vieille je les ai pas vu longtemps hu hu).
Mémorable descente sur La Ciotat, pleine de virages, lacets et surtout…d’essence ! Snif snif, mais putain elle daube l’essence ma Ducat, c’est quoi ce merdier ? Ah non, en fait c’est la Range devant qui, en plus de consommer du 30litres aux cents, déverse le ¼ de son réservoir à chaque épingle !! Vite on la double pour pas être emmerdés. Et c’est là qu’on tombe sur « ZE local » ! Un vieux dans sa deuche (on est en descente) qui prenait, en toute simplicité, les épingles sur 3 roues !!!! Incroyable, il ne freinait absolument pas et balançait sa caisse jusqu’à ce qu’une roue se soulève. Sauf qu’encore une fois, des litres d’essence tombaient par terre et j’ai bien failli m’y mettre. Dommage qu’on n’ait pas filmé ça, c’était impressionnant.

La Ciotat – Tournon : Drôme Provençale et cul bordé de nouilles

De bon matin, on attaque la route entre La Ciotat et Roquefort la Bédoule. Assez mortelle il faut bien avouer, puis ça continue comme ça jusqu’à Aubagne. A partir de là on aurait du prendre l’autoroute jusqu’à Aix car on va vraiment se faire super chier à traverser tous ces bleds par la nationale. Sans aucun intérêt ! Entre Aix et Apt, route très sympa, des virages en veux tu en voilà, et Ed qui me suit, visiblement une journée de repos lui a fait du bien. C’est cool, comme ça on va pouvoir avancer un peu plus vite et surtout se faire plaisir à rouler à deux. Que de progrès depuis Villefranche sur Saône, faut dire qu’une PACA ça vous change la vision de l’arsouille à moto !

Arrivés à Apt, on décide de continuer pour aller bouffer à Sault, en plein cœur du Luberon. Nous allons donc traverser un véritable désert, peu de maisons, des gouffres vertigineux, des rapaces qui volent au dessus de nos têtes. Superbe mais bosselé. Après la pause bouffe, on commence un peu à flipper car les nuages noirs annonciateurs de mauvais temps nous entourent. On décide donc d’abandonner le mont Ventoux et de privilégier la vallée. Et quelle vallée !!! La fameuse D40 en direction de Buis les Baronnies. Toujours aussi bonne celle là. Eric s’y sent particulièrement à son aise et ça se voit car je ne l’attends pas trop. Mieux que ça, avant d’arriver sur Nyons il va croquer du lapin. Des locaux en plus (84, désolé pour vous les gars) en Z750 et Aprilia RSV1000. Ca fait plaisir. Pour la forme on trace jusqu’à Remuzat histoire de lui montrer la route de tous les exploits mais, la pluie nous force à faire demi tour plus tôt que prévu. Pas grave, l’enchainement toujours aussi beau des gorges de trente pas est effectué sur le sec. Tite pause bierrasse à Bourdeaux dans le bar des amateurs de pétanque –il y avait d’ailleurs une sorte de club de jeunes retraités qui mettait pas mal d’ambiance, les femmes tournaient à la pinte et ça rigolait sévèrement !-. La fin est plus chiante et monotone jusqu’à Tournon. Finalement on ne se prendra la pluie que pour aller ranger les brèles au parking de l’hôtel. J’étais d’ailleurs bien vert car je faisais mon cake en t-shirt….au moins j’aurais pas mouillé mon blouson. Et toc !

Le lendemain, Tournon – Paris par autoroute en serrant les fesses pour ne pas se prendre la flotte, sans oublier les indispensables boules Quiès!

La Ciotat – Tournon : Drôme Provençale et cul bordé de nouilles

De bon matin, on attaque la route entre La Ciotat et Roquefort la Bédoule. Assez mortelle il faut bien avouer, puis ça continue comme ça jusqu’à Aubagne. A partir de là on aurait du prendre l’autoroute jusqu’à Aix car on va vraiment se faire super chier à traverser tous ces bleds par la nationale. Sans aucun intérêt ! Entre Aix et Apt, route très sympa, des virages en veux tu en voilà, et Ed qui me suit, visiblement une journée de repos lui a fait du bien. C’est cool, comme ça on va pouvoir avancer un peu plus vite et surtout se faire plaisir à rouler à deux. Que de progrès depuis Villefranche sur Saône, faut dire qu’une PACA ça vous change la vision de l’arsouille à moto ! Arrivés à Apt, on décide de continuer pour aller bouffer à Sault, en plein cœur du Luberon. Nous allons donc traverser un véritable désert, peu de maisons, des gouffres vertigineux, des rapaces qui volent au dessus de nos têtes. Superbe mais bosselé. Après la pause bouffe, on commence un peu à flipper car les nuages noirs annonciateurs de mauvais temps nous entourent. On décide donc d’abandonner le mont Ventoux et de privilégier la vallée. Et quelle vallée !!! La fameuse D40 en direction de Buis les Baronnies. Toujours aussi bonne celle là. Eric s’y sent particulièrement à son aise et ça se voit car je ne l’attends pas trop. Mieux que ça, avant d’arriver sur Nyons il va croquer du lapin. Des locaux en plus (84, désolé pour vous les gars) en Z750 et Aprilia RSV1000. Ca fait plaisir. Pour la forme on trace jusqu’à Remuzat histoire de lui montrer la route de tous les exploits mais, la pluie nous force à faire demi tour plus tôt que prévu. Pas grave, l’enchainement toujours aussi beau des gorges de trente pas est effectué sur le sec. Tite pause bierrasse à Bourdeaux dans le bar des amateurs de pétanque –il y avait d’ailleurs une sorte de club de jeunes retraités qui mettait pas mal d’ambiance, les femmes tournaient à la pinte et ça rigolait sévèrement !-. La fin est plus chiante et monotone jusqu’à Tournon. Finalement on ne se prendra la pluie que pour aller ranger les brèles au parking de l’hôtel. J’étais d’ailleurs bien vert car je faisais mon cake en t-shirt….au moins j’aurais pas mouillé mon blouson. Et toc !

Tournon – Paris par autoroute en serrant les fesses pour ne pas se prendre la flotte

La Ciotat – Tournon : Drôme Provençale et cul bordé de nouilles

De bon matin, on attaque la route entre La Ciotat et Roquefort la Bédoule. Assez mortelle il faut bien avouer, puis ça continue comme ça jusqu’à Aubagne. A partir de là on aurait du prendre l’autoroute jusqu’à Aix car on va vraiment se faire super chier à traverser tous ces bleds par la nationale. Sans aucun intérêt ! Entre Aix et Apt, route très sympa, des virages en veux tu en voilà, et Ed qui me suit, visiblement une journée de repos lui a fait du bien. C’est cool, comme ça on va pouvoir avancer un peu plus vite et surtout se faire plaisir à rouler à deux. Que de progrès depuis Villefranche sur Saône, faut dire qu’une PACA ça vous change la vision de l’arsouille à moto ! Arrivés à Apt, on décide de continuer pour aller bouffer à Sault, en plein cœur du Luberon. Nous allons donc traverser un véritable désert, peu de maisons, des gouffres vertigineux, des rapaces qui volent au dessus de nos têtes. Superbe mais bosselé. Après la pause bouffe, on commence un peu à flipper car les nuages noirs annonciateurs de mauvais temps nous entourent. On décide donc d’abandonner le mont Ventoux et de privilégier la vallée. Et quelle vallée !!! La fameuse D40 en direction de Buis les Baronnies. Toujours aussi bonne celle là. Eric s’y sent particulièrement à son aise et ça se voit car je ne l’attends pas trop. Mieux que ça, avant d’arriver sur Nyons il va croquer du lapin. Des locaux en plus (84, désolé pour vous les gars) en Z750 et Aprilia RSV1000. Ca fait plaisir. Pour la forme on trace jusqu’à Remuzat histoire de lui montrer la route de tous les exploits mais, la pluie nous force à faire demi tour plus tôt que prévu. Pas grave, l’enchainement toujours aussi beau des gorges de trente pas est effectué sur le sec. Tite pause bierrasse à Bourdeaux dans le bar des amateurs de pétanque –il y avait d’ailleurs une sorte de club de jeunes retraités qui mettait pas mal d’ambiance, les femmes tournaient à la pinte et ça rigolait sévèrement !-. La fin est plus chiante et monotone jusqu’à Tournon. Finalement on ne se prendra la pluie que pour aller ranger les brèles au parking de l’hôtel. J’étais d’ailleurs bien vert car je faisais mon cake en t-shirt….au moins j’aurais pas mouillé mon blouson. Et toc !

Tournon – Paris par autoroute en serrant les fesses pour ne pas se prendre la flotte

A voir aussi...

Galeries : La PACA 2006
Balades : PACA d'été 2006
Balades : Les Grandes Alpes
Balades : Septembre dans le Sud
Vins : Chateau d'Aiguilhe
  

Commentaires
 
Ed (24/05/2006)
Y'a pas que de la mauvaise foi... surtout quand il dit que je ne me traîne pas... :-)))


 
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