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Les Vosges avec Féfé et sa Harley
Alsace du 04/08/2007 au 06/08/2007
2000 kms

(par JeanJean le 08/08/2007)

liens & avis
Première balade de l'année. Ca fait du bien, le temps, les routes...Tout est au rendez-vous !

Vendredi 15h40 rendez-vous porte d'auteuil...

Bon, ca y est, tout est prêt Féfé a toucher sa nouvelle pou’buell 2 jours plus tôt. Il a fait péter les pare-carters, le pantalon en cuir tout neuf, le casque aussi. Pour dire qu'il ne voulait plus investir dans la moto, ca promet pour les années à venir tout ca ! Enfin, que des achats sécurité ou presque. A mon avis il se met la pression. Mais bon si c'est pour rouler plus vite qu'avec la Dayto, ca sera pas un mal !!!

Revenons à nos moutons. Départ par le périph et l'A6 direction Evry et l'A5. On commence à se décontracter en pensant que ça va être super blinder pour ce gros départ en vacances.... Et bien NON, dingue, personne, en moins de 30 minutes on est au péage de l'A5. Je passe la barrière avec nos amis les gendarmes qui me guette !!! Et la ça ne manque pas, Féfé la guigne frappe fort et se fait arrêter alors que ca meule fait le bruit d'un canarie comparé à la TRX. Plus de peur que de mal, les bleus ne voulait que voir sa pou'Buell !

Le reste de la liaison vers vittel se passe sans encombre. L'autonomie de la Harley est même plutôt étonnante avec 240 kms pour 13 litres de super ! Direction Gérardmer pour attaquer un p'tit apéro bien mérité. Coup de fil à l'hôtel réservé par le Féfé. Pas de souci, ils peuvent servir des flammekueche jusqu'à 23h !

Vendredi 15h40 rendez-vous porte d'auteuil...

Bon, ca y est, tout est prêt Féfé a touché sa nouvelle pou’buell 2 jours plus tôt. Il a fait péter les pare-carters, le pantalon en cuir tout neuf, le casque aussi. Pour dire qu'il ne voulait plus investir dans la moto, ça promet pour les années à venir tout ca ! Enfin, que des achats sécurité ou presque. A mon avis il se met la pression. Mais bon si c'est pour rouler plus vite qu'avec la Dayto, ca sera pas un mal vu comme il se trainait avec l'anglaise !!!

Revenons à nos moutons. Départ par le périph et l'A6 direction Evry et l'A5. On commence à se décontracter en pensant que ça va être super blindé pour ce gros départ en vacances.... Et bien NON, dingue, personne, en moins de 30 minutes on est au péage de l'A5. Je passe la barrière avec nos amis les gendarmes qui me guettent !!! Et la ça ne manque pas, Féfé la guigne frappe fort et se fait arrêter alors que sa meule fait le bruit d'un canari en comparaison de la TRX. Plus de peur que de mal, les bleus ne voulaient que voir de plus près sa pou'Buell !

Le reste de la liaison vers Vittel se passe sans encombre. L'autonomie de la Harley est même plutôt étonnante avec 240 kms pour 13 litres de super ! Direction Gérardmer pour attaquer un p'tit apéro bien mérité. Coup de fil à l'hôtel réservé par le Féfé. Pas de souci, ils peuvent servir des flammekueche jusqu'à 23h !



Sur cette portion post-autoroutière, j'ai pris la Harley de Féfé pour voir ce que ça donne. Le bruit est vraiment merdique, y'a pas de senti de piston (ça c'est pour les cousines). Le moteur est assez marrant, avec un bon trou de 4500 - 6000 mais il se réveille un peu avant la zone rouge (genre sur 400 tours). La partie cycle a l'air sympa, le freinage bon, le confort pas trop mauvais, c'est raide, mais pas trop bout de bois. Sur route, on a le choix d'enrouler entre 2500 et 4000 ou alors de dépouiller un peu en haut, les 2 sont bien sympas. Mais le meilleur reste de repartir à 1500 tours pour profiter du gros POM POM POM harley-style. Vivement qu'il mette un pot pour vraiment en profiter.

Pause à Gérardmer donc. 1 binch, sa p'tite soeur, et le sourire revient pour attaquer la virole ! Il commence à faire nuit, la visière du casque est recouverte de cadavres d’insectes, un p'tit geste de ma petite main pour nettoyer le tout... Quel erreur, visibilité Zéro !!! Bon, on finira la route visière ouverte. Par ce temps frais, ca vivifie !

Arrivés à l'hôtel vers 22h, contents de laisser les poubelles au repos derrière avec le linge qui sèche ! Bonjour bonsoir avec les proprios, sympas, même si le gars a des furoncles tout frais et suintants plein les bras comme un vieux toxico de 55 ans qui a tout testé depuis un demi siècle ! C'est l'encyclopédie vivante du sujet à mon avis !!

On pose nos affaires, 4 flammekueches, 2 boutanches de riesling, une binch pour la route et on est fin près à rouler la viande dans le torchon pour être en pleine forme au matin.



Sur cette portion post-autoroutière, j'ai pris la Harley de Féfé pour voir ce que ca donne. Lebruit est vraiment merdique, ya pas de senti de piston (ca c'est pour les cousines). Le moteur est assez marrant, avec un bon trou de 4500 - 6000 mais il se réveille un peu avant la zone rouge (genre sur 400 tours). La partie cycle a l'air sympa, le freinage bon, le confort pas trop mauvais, c'est raide, mais pas trop bout de bois. Sur route, on a le choix d'enrouler entre 2500 et 4000 ou alors de dépouiller un peu en haut, les 2 sont bien sympas. Mais le meilleur reste de repartir à 1500 tours pour profiter du gros POM POM POM harley-style. Vivement qu'il mette un pot pour vraiment en profiter.

Pause à Gérardmer donc. 1 binch, sa p'tite soeur, et le sourire revient pour attaquer la virole ! Il commence à faire nuit, la visière du casque est recouvert de cadavres d’insectes, un p'tit geste de ma pettie main pour nettoyer le tout... Quel erreur, visibilité Zéro !!! Bon, on finira la route visière ouverte. Par ce temps frais, ca vivifie !

Arrivée à l'hôtel vers 22h, content de laisser les poubelles au repos derrière avec le linge qui sèche ! Bonjour bonsoir avec les proprios, sympas, même si le gars a des furoncles tout frais et suintants plein les bras comme un vieux toxico de 55 ans qui a tout testé depuis un demi siècle ! C'est l'encyclopédie vivante du sujet à mon avis !!

On pose nos affaires, 4 flammekueches, 2 boutanches de riesling, une binch pour la route et on est fin près à rouler la viande dans le torchon pour être en pleine forme au matin.

Samedi, le nord de la région.

Après une bonne nuit entrecoupée par les gorgées d’eau avalées toutes les 15 minutes par Féfé la bourrasse, petit dèj et Zou, en route pour le nord de la région. Direction le Bonhomme puis Sainte Marie aux Mines par la D48. On passe rapyd devant le resto « Le chasseur » ou on avait mangé l’année dernière. Le très très bon commence là. On bifurque à gauche pour aller vers Ribeauvillé par la D416 puis Bergheim, Thannenkirch pour rejoindre Lièpvre avant d’attaquer le col de Fouchy. Nous rencontrerons un gros lapin Allemand avec sa femme sur une R1200GS enroulant rapide compte tenu de son gabarit des plus conséquents (Au moins 550 kg l’attelage au complet). Bref, je décide de ne pas le doubler de peur d’être considéré au passage comme leur prochain repas, ou plutôt apéro !

Les routes sont terribles, après un an sans balade ça ne fait pas de mal de reprendre un peu le rythme. Féfé est aux anges sur sa pou’Buell, un vrai gamin. Petite pause repas à Bassemberg et c’est reparti vers le nord par Urbéis, le Hohwald, Ottrott (tout ca dans la région du mont Saint Odile). On descend vers Engenthal pour passer en Lorraine en direction de Dabo. Là… c’est le drame !!! Les rois du gravillonnage sont dans la région. Une vraie gravière pendant des kilomètres ! On pourrait croire que la Buell va se retrouver sur son terrain de prédilection tel le motoculteur dans la terre !!! Et bien pas du tout. Féfé préfère se traîner plutôt que fendre le gravier !

Samedi, le nord de la région.

Après une bonne nuit entrecoupée par les gorgés d’eau avalées toutes les 15 minutes par féfé la bourrasse, petit dèj et Zou, en route pour le nord de la région. Direction le Bonhomme puis Sainte Marie aux Mines par la D48. On passe rapyd devant le resto « Le chasseur » ou on avait mangé l’année dernière. Le très très bon commence la. On bifurque à gauche pour aller vers Ribeauvillé par la D416 puis Bergheim, Thannenkirch pour rejoindre Lièpvre avant d’attaquer le col de Fouchy. Nous rencontrerons un gros lapin Allemand avec sa femme sur une R1200GS enroulant rapide compte tenu de son gabarit des plus conséquent (Au moins 550 kg l’attelage au complet). Bref, je décide de ne pas le doubler de peur d’être considéré au passage comme leur prochain repas, ou plutôt apéro !

Les routes sont terribles, après un an sans balade ca fait pas de mal de reprendre un peu le rythme. Féfé est aux anges sur sa pou’Buell, un vrai gamin. Petite pause repas à Bassemberg et c’est reparti vers le nord par Urbéis, le Hohwald, Ottrott (tout ca dans la région du mont Saint Odile). On descend vers Engenthal pour passer en Lorraine en direction de Dabo. Là… c’est le drame !!! Les rois du gravillonnage sont dans la région. Une vraie gravière pendant des kilomètres ! On pourrait croire que la Buell va se retrouver sur son terrain de prédilection tel le motoculteur dans la terre !!! Et bien pas du tout. Féfé préfère se traîner plutôt que fendre le gravier !



Il va donc falloir attendre quelques semaines voir quelques mois pour que le trop plein de gravier se disperse ! Les routes devraient être pas mal du tout.

Après ce petit moment de désarrois, les routes redeviennent meilleures vers le col du Donon et le retour en Alsace. Le retour se fera tranquillou sur les belles routes du Hohwald, et le début de la route des vins. La bonne surprise viendra d’une petite route particulièrement sympa au départ de Ribeauvillé en direction de Aubure puis fréland, pour finalement terminer à Hachimette-Lapoutroie, là ou se trouve notre hôtel tenu par les gentils toxicos.

Petit repos bien mérité, douche, et direction un nouveau restac un peu plus haut dans le village pour découvrir les nouvelles spécialités culinaires : Choucroute pour Féfé, et Coq au Riesling et Spadzel pour moi ! Retour à l’hôtel un peu tard. Le patron, sans doute entre 2 rails de spadzel, accepte de nous fournir une p’tite boutanche de Riesling bien fraîche et 2 verres pour terminer la soirée dans la chambre ! Non non non… je vois déjà les plus pervers nous imaginant Féfé et moi besogneux dans la chambre. Et bien non, il n’en sera rien. Féfé ne sacrifie cependant pas au rituel de la préparation de ses 2 verres d’eau en vu d’une nuit de bourrasse qu’il est !!!

Revenons à nos moutons, euh, nos routes plutôt.



Il va donc falloir attendre quelques semaines voir quelques mois pour que le trop plein de gravier se disperse ! Les routes devraient être pas mal du tout.

Après ce petit moment de désarroi, les routes redeviennent meilleures vers le col du Donon et le retour en Alsace. Le retour se fera tranquillou sur les belles routes du Hohwald, et le début de la route des vins. La bonne surprise viendra d’une petite route particulièrement sympa au départ de Ribeauvillé en direction de Aubure puis Fréland (note Olive : le col de Fréland mon gros), pour finalement terminer à Hachimette-Lapoutroie, là ou se trouve notre hôtel tenu par les gentils toxicos.

Petit repos bien mérité, douche, et direction un nouveau restac un peu plus haut dans le village pour découvrir les nouvelles spécialités culinaires : Choucroute pour Féfé, et Coq au Riesling et Spadzel pour moi ! Retour à l’hôtel un peu tard. Le patron, sans doute entre 2 rails de spadzel, accepte de nous fournir une p’tite boutanche de Riesling bien fraîche et 2 verres pour terminer la soirée dans la chambre ! Non non non… je vois déjà les plus pervers nous imaginant Féfé et moi besogneux dans la chambre. Et bien non, il n’en sera rien. Féfé ne sacrifie cependant pas au rituel de la préparation de ses 2 verres d’eau en vu d’une nuit de bourrasse qu’il est !!!

Revenons à nos moutons, euh, nos routes plutôt.

Dimanche…. Le sud.

Nous voilà partis sur les routes du sud avec entre autres, la route des crêtes, la descente sur Cernay, la montée vers Masevaux et le ballon d’Alsace. Mais avant tout ça, petit détour par Trois-Epis et Turckheim pour une petite boucle ballistique à ne manquer sous aucun prétexte. Arrivés à Munster, nous nous retrouvons bloqués derrière un convoi de voitures jetant bonbons et casquettes aux piétons ! Merde, c’est quand même pas le tour de France qui recommence ce bordel ! Renseignement pris auprès de la moto balai (sans doute un ami d’Olive celui là), il s’agit de la dernière étape du tour d’Alsace cycliste qui va emprunter exactement le même itinéraire que nous. Merde alors ! Va falloir qu’on se crache dans les mains pour ne pas se faire déposer par tous ces sportifs dopés à mort !

En reprenant la route après la discussion avec le collègue d’Olive donc, je manque de me faire renverser en tapant dans une Picasso qui passait à mes côtés. Quel con alors… Bon c’est vrai, j’ai pas regardé, mais quand même. Je salue cet automobiliste qui m’aura permis de faire frotter pour la première fois mes sliders sur sa peinture ! Ca au moins, c’est fait !

Petite pause le temps de laisser partir la caravane du Tour et nous voilà repartis sur la fin de la route des crêtes avec une excellente portion : j’ai nommé la descente vers Cernay. Je laisse Féfé passer devant pour observer la Pou’Buell en action sur cette belle portion ! On enroule rapide sur le début avec déjà quelques spectateurs attendant le passage des cyclistes prévus dans une à 2 heures ! Des spectateurs, c’est vraiment royale cette histoire ! Y'avait même des banderoles, mais rien encourageant JeanJean ou Féfé !

Dimanche…. Le sud.

Nous voilà partis sur les routes du sud avec entre autre, la route des crêtes, la descente sur Cernay, la montée vers Masevaux et le ballon d’Alsace. Mais avant tout ça, petit détour par Trois-Epis et Turckheim pour une petite boucle balistique à ne manquer sous aucun prétexte. Arrivé à Munster, Nous nous retrouvons bloqués derrière un convoi de voiture jetant bonbons et casquettes aux piétons ! Merde, c’est quand même pas le tour de France qui recommence ce bordel ! Renseignement pris auprès de la moto balais (sans doute un ami d’Olive celui là), il s’agit de la dernière étape du tour d’Alsace cycliste qui va emprunter exactement le même itinéraire que nous. Merde alors ! Va falloir qu’on se crache dans les mains pour ne pas se faire déposer par tous ces sportifs dopés à mort !

En reprenant la route après la discussion avec le collègue d’Olive donc, je manque de me faire renverser en tapant dans une Picasso qui passait à mes côtés. Quel con alors… Bon c’est vrai, j’ai pas regardé, mais quand même. Je salut quand même l’automobiliste qui m’aura permis de faire frotter pour la première fois mes sliders sur sa peinture ! Ca au moins, c’est fait !

Petite pause le temps de laisser partir la caravane du Tour et nous voilà repartis sur la fin de la route des crêtes avec la portion des plus sympathique : j’ai nommé la descente vers Cernay. Je laisse Féfé passer devant pour observer la Pou’Buell en action sur cette belle portion ! On enroule rapide sur le début avec déjà quelques spectateurs attendant le passage des cyclistes prévu dans une à 2 heures ! Des spectateurs, c’est vraiment royale cette histoire ! Yavait même des banderoles, mais rien encourageant JeanJean ou Féfé !



Début de la descente, nous rattrapons un groupe de 4 allemands fazer 1000, Tuono et autre BM motorad. Bon, ils se traînent bien la teub, mais en motard responsable, Féfé reste derrière !!! Merde alors, mais qu’est ce qu’il fou le Féfé ! Même sur la TRX je relance à 4500 tours pour suivre, autant dire que je suis à la limite de caler dans les épingles. Les freins restent froids. On se traine lamentablement en bas comme des fiottes derrière les teutons ! Petite pause déjeuner à Thann devant une Pizza Alsacienne pour Féfé (autrement dit, une Flammekueche pour le touriste mal informé). Nous abordons le sujet de la descente et des teutons avec le Féfé.

JJ : Alors t’as joué ta fiotte ? Ils se traînaient la bite grave !!!
Féfé : Non, j’ai pas voulu écoeurer les touristes étranger pendant leur découverte de nos belles régions !
JJ : Ah bon, c’est fort louable de ta part dis donc !

Bon, c’est vrai que j’aurais du doubler tout le monde dans ce style inimitable qui me caractérise, aérofrein sortis, mais j’ai pas voulu casser l’ambiance du week-end avec le Féfé, ni les motos des teutons d’ailleurs !

Direction Masevaux puis le grand Ballon par cette superbe route. Visiblement, les spectateurs sont tous au rendez-vous, et les cyclistes ne devraient pas tarder. Nous décidons donc d’accélérer un peu le rythme pour offrir à ses badauds une première partie de spectacle agréable et musicale.

J’enroule rapide sur le couple phénoménal de la TRX (à 7500 – 8500 tours, juste avant le rupteur). Le bruit est des plus discrets pour les spectateurs près à faire leur sieste : BRAAAAAAAAOOOOOOOOOMMMMMMMMMMMMM. A chaque croisement, les gendarmes nous regardent un peu étonnés. Ils sont cependant trop occupés pour s’intéresser de près à nous. La dernière partie approche avec les panneaux indiquant kilomètre après kilomètre la distance restant à parcourir jusqu’à la ligne d’arrivée. Une foule enthousiaste nous y attend. Il faut bien dire qu’ils ont du nous entendre arriver depuis un p’tit moment tous ces boulets !!!



Début de la descente, nous rattrapons un groupe de 4 allemands en Fazer 1000, Tuono et autre BM motorad. Bon, ils se traînent bien la teub, mais en motard responsable, Féfé reste derrière !!! Merde alors, mais qu’est ce qu’il fout le Féfé ! Même sur la TRX je relance à 4500 tours pour suivre, autant dire que je suis à la limite de caler dans les épingles. Les freins restent froids. On se traine lamentablement en bas comme des fiottes derrière les teutons ! Petite pause déjeuner à Thann devant une Pizza Alsacienne pour Féfé (autrement dit, une Flammekueche pour le touriste mal informé). Nous abordons le sujet de la descente et des teutons avec le Féfé.

JJ : Alors t’as joué ta fiotte ? Ils se traînaient la bite grave !!!
Féfé : Non, j’ai pas voulu écoeurer les touristes étranger pendant leur découverte de nos belles régions !
JJ : Ah bon, c’est fort louable de ta part dis donc !

Bon, c’est vrai que j’aurais du doubler tout le monde dans ce style inimitable qui me caractérise, aérofreins sortis, mais j’ai pas voulu casser l’ambiance du week-end avec le Féfé, ni les motos des teutons d’ailleurs !

Direction Masevaux puis le grand Ballon par cette superbe route. Visiblement, les spectateurs sont tous au rendez-vous, et les cyclistes ne devraient pas tarder. Nous décidons donc d’accélérer un peu le rythme pour offrir à ses badauds une première partie de spectacle agréable et musicale.

J’enroule rapide sur le couple phénoménal de la TRX (à 7500 – 8500 tours, juste avant le rupteur). Le bruit est des plus discrets pour les spectateurs prêts à faire leur sieste : BRAAAAAAAAOOOOOOOOOMMMMMMMMMMMMM. A chaque croisement, les gendarmes nous regardent un peu étonnés. Ils sont cependant trop occupés pour s’intéresser de près à nous. La dernière partie approche avec les panneaux indiquant kilomètre après kilomètre la distance restant à parcourir jusqu’à la ligne d’arrivée. Une foule enthousiaste nous y attend. Il faut bien dire qu’ils ont du nous entendre arriver depuis un p’tit moment tous ces boulets !!!



Pour une première spéciale avec des spectateurs, les sensations ont été très bonnes. Nous n’avons cependant pas participé au rituel du podium, la route étant encore longue avant l’apéro du soir. Le champagne attendra un peu !

Descente vers giromagny. Route encore balistique. Tous les cons en Scénic diesel et autre Picasso monte voir les cyclistes dopés pour l’arrivée du tour. Certains se sentent d’ailleurs pousser des ailes en arrivant un peu sport voie d’en face (la notre quoi). Ah ces caisseux alors, je les connais bien avec ce comportement débile qui consiste à vouloir attaquer avec leur merde ! Je fais pareil voir même bien pire avec mon Scénic diesel !!! Eh Eh Eh ! Mais bon, c’est pas pareil du tout !!!

Après toutes ces bonnes routes, il nous fallait un petit coin plus tranquille avec route défoncée et où il n’est pas possible de croiser à 2 motos sous peine de tomber dans un énorme ravin ! Et ben nous l’avons trouvé direct longeant un petit ruisseau ! On y croisera d’ailleurs 2 flics en BM (Non pas dans le ruisseau !).

Pause Binch pour se remettre et retour tranquille vers Lapoutroie ou l’apéro est déjà au frais, suant d’impatience.

Dernière soirée, Féfé garde le rythme !!! Flammekueche ou plutôt pizza alsacienne pour tout le monde. Tout ça accompagner d’un p’tit Riesling syndicale. La seule déception à propos de l’hôtel vient du fait qu’on aurait bien aimé picoler avec Papa toxico, il nous aurait couché en 2-2 en nous expliquant que les jeunes c’est plus ce que c’était, un peu comme les proprios du fameux hôtel à Saint Pal de Sénouire en Auvergne !



Pour une première spéciale avec des spectateurs, les sensations ont été très bonnes. Nous n’avons cependant pas participé au rituel du podium, la route étant encore longue avant l’apéro du soir. Le champagne attendra un peu !

Descente vers Giromagny. Route encore ballistique. Tous les cons en Scénic diesel et autres Picasso montent voir les cyclistes dopés pour l’arrivée du tour. Certains se sentent d’ailleurs pousser des ailes en arrivant un peu sport voie d’en face (la notre quoi). Ah ces caisseux alors, je les connais bien avec ce comportement débile qui consiste à vouloir attaquer avec leur merde ! Je fais pareil voir même bien pire avec mon Scénic diesel !!! Eh Eh Eh ! Mais bon, c’est pas pareil du tout !!!

Après toutes ces bonnes routes, il nous fallait un petit coin plus tranquille avec de la bonne route défoncée et où il n’est pas possible de se croiser à 2 motos sous peine de tomber dans un énorme ravin ! Et ben nous l’avons trouvé directement en longeant un petit ruisseau ! On y croisera d’ailleurs 2 flics en BM (Non pas dans le ruisseau !).

Pause Binch pour se remettre et retour tranquille vers Lapoutroie où l’apéro est déjà au frais, suant d’impatience.

Dernière soirée, Féfé garde le rythme !!! Flammekueche ou plutôt pizza alsacienne pour tout le monde. Tout ça accompagné d’un p’tit Riesling syndical. La seule déception à propos de l’hôtel vient du fait qu’on aurait bien aimé picoler avec Papa toxico, il nous aurait couché en 2-2 en nous expliquant que les jeunes c’est plus ce que c’était, un peu comme les proprios du fameux hôtel à Saint Pal de Sénouire en Auvergne !

Lundi, déjà le retour sur Paris.

Toutes les affaires sont remballées, les motos chargées, c’est parti. Après quelques tentatives pour trouver de nouvelles petites routes sympa et finalement tomber sur de la route à chèvre, direction comme la veille par le sud avant de rentrer sur Paris dans l’après midi. Bah oui, on change pas une équipe qui gagne, et pis ils ont du ranger tout le bordel à cycliste.

Cette fois, pas d’allemand en vu, je me fait bien plaisir à accélérer un peu le rythme dans la descente en retardant un poil les freinages. Ca commence d'ailleurs à siffler bizarrement en bas quand j'attrape les freins ! Comme toujours, des traces de voitures et motos un peu optimistes terminent dans les fossés ! Ca fait des bons repaires tout ca !

Petite grillade vers Thann encore une fois, puis début de retour vers Paris. A vouloir trouver un itinéraire sympa, on s’est retrouvé dans une gravière géante pour ne pas dire une plage tellement yen avait épais. Y avait même encore la grosse aplatisseuse qui terminait son boulot.

Tout ca a bien finit de me saouler, d’autant qu’il restait pas mal de route avant de finir par nos 300 kms d’autoroute. Olive m’avait en plus annoncé au téléphone qu’on devrait se chopper des gros orages sur le retour ! Ca promettait un programme des plus sympathique tout ca. A presque 400 kms de Paris, à Luxeuil les bains exactement, une grosse averse nous a d’ailleurs annoncé la couleur ! On a donc un peu accéléré le rythme sur les nationales pour ne pas trop perdre de temps.

Finalement, bonne surprise puisque nous n’avons pas vu la pluie de tout le voyage. L’autoroute était bien mouillée par endroit, mais c’est tout. Pareil niveau bouchon à l’arrivée sur Paris : personne. Le week-end s’est donc très bien terminé.

Au final, Féfé est amoureux de sa pou’Buell, la TRX fait des bruits bizarres, mais bon ca reste une Yamaha donc un peu d’essence et beaucoup d’huile et ça devrait encore le faire un bon moment. Les routes et la région étaient encore une fois terribles, le temps du même tonneau. A refaire encore et encore.

Lundi, déjà le retour sur Paris.

Toutes les affaires sont remballées, les motos chargées, c’est parti. Après quelques tentatives pour trouver de nouvelles petites routes sympas et finalement tomber sur de la route à chèvre, direction comme la veille par le sud avant de rentrer sur Paris dans l’après midi. Bah oui, on change pas une équipe qui gagne, et pis ils ont du ranger tout le bordel à cyclistes.

Cette fois, pas d’allemands en vu, je me fait bien plaisir à accélérer un peu le rythme dans la descente en retardant un poil les freinages. Ca commence d'ailleurs à siffler bizarrement en bas quand j'attrape les freins ! Comme toujours, des traces de voitures et de motos un peu optimistes qui terminent dans les fossés ! Ca fait des bons repères tout ca !

Petite grillade vers Thann encore une fois, puis début de retour vers Paris. A vouloir trouver un itinéraire sympa, on s’est retrouvés dans une gravière géante pour ne pas dire une plage tellement y'en avait épais. Y'avait même encore la grosse aplatisseuse qui terminait son boulot.

Tout ça a bien finit de me saouler, d’autant qu’il restait pas mal de route avant de finir par nos 300 kms d’autoroute. Olive m’avait en plus annoncé au téléphone qu’on devrait se choper des gros orages sur le retour ! Ca promettait un programme des plus sympathiques tout ça. A presque 400 kms de Paris, à Luxeuil les bains exactement, une grosse averse nous a d’ailleurs annoncé la couleur ! On a donc un peu accéléré le rythme sur les nationales pour ne pas trop perdre de temps.

Finalement, bonne surprise puisque nous n’avons pas vu la pluie de tout le voyage. L’autoroute était bien mouillée par endroits, mais c’est tout. Pareil niveau bouchon à l’arrivée sur Paris : personne. Le week-end s’est donc très bien terminé.

Au final, Féfé est amoureux de sa pou’Buell, la TRX fait des bruits bizarres, mais bon ca reste une Yamaha donc un peu d’essence et beaucoup d’huile et ça devrait encore le faire un bon moment. Les routes et la région étaient encore une fois terribles, le temps du même tonneau. A refaire encore et encore.

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Commentaires
 
JeanJean (15/05/2008)
Et merde, on avait trouvé en 2007 l'hôtel presque idéal et bien central avec des gens sympa et il a fallu qu'il ferme l'automne dernier. l'hostellerie de la bonne truite n'est plus.


 
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